Pendant que j'infuse ces derniers jours dans la ville familière, je vous envoie ces sculptures de silence découvertes dans le bruit :
"[...] Si je ne m'éveille
Repue de tous mes rêves
Festives écorchures."
"Quand la nuit consent à me parler
C'est à la lame
Qu'elle émince
Les lieux de certitude
Qu'elle mutile
Les aimés en solitude"
Ananda Devi, Quand la nuit consent à me parler, Editions Bruno Doucey
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