"Angel y demonio" est un spectacle de Leonardo Alarcon Garcia présenté deux années de suite au festival d'Ambronay. Là-bas, Piazzolla croise Monteverdi.
C'était un moment vibrant. Un des spectacles programmés à Ambronay qui m'a le plus marqué (n'en déplaise aux puristes). En y repensant, j'ai eu envie de vous proposer un peu de tango et de baroque, pour la joie. Pour la danse.
C'était un moment vibrant. Un des spectacles programmés à Ambronay qui m'a le plus marqué (n'en déplaise aux puristes). En y repensant, j'ai eu envie de vous proposer un peu de tango et de baroque, pour la joie. Pour la danse.
Le Lamento della ninfa, par lequel je suis revenu à Monteverdi.
L'Arpeggiatta, le lycée, K. m'avait pris par le bras pour aller écouter des tarentelles.
L'Arpeggiatta, le lycée, K. m'avait pris par le bras pour aller écouter des tarentelles.
Libertango, de Piazzolla. Mue de l'intérieur. Toute la vie raconté par un accordéon. (et dans la playlist à droite, une version de Rodrigo y Gabriela, des guitaristes découverts lors de mon tout premier voyage en Irlande)
Dido. Aeneas.
Et un petit bonus : la scène de Tango de L'Homme de sa vie (Zabou Breitman). Un film-ébranlement vu dans la solitude délicieuse d'un matin stéphanois. Un dialogue qui ressemble à celui qui se tisse, se tissait dans ma tête. Des hésitations, des sens multiples et ouverts.
Voilà.
Voilà.
Je vais montagner
Douce fin de semaine.
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